repère et rencontres
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jeudi 8 décembre 2011
toile de la nuit - vers les photons... work in progress
la toile en chantier,
infime tentative vers le "miroir à lumière"
négatifs, encre de chine, huile sur bois, 7 décembre 2011 - Notte
"L'idée consiste à faire se déplacer un miroir dans le vide. Tant que le miroir ne va pas trop vite, il ne peut empêcher les paires particules/antiparticules, qui filent à la vitesse de la lumière, de s'annihiler. Mais, dès lors qu'il se promène à une vitesse proche de celle de la lumière, il arrive à séparer des photons de leurs partenaires et à les ancrer dans le monde réel. Conséquence : le miroir émet de la lumière."
passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2011/12/01/des-physiciens-creent-de-la-lumiere-a-partir-du-vide/
musique
Anouar Brahem - Toi qui sais ( Live)
انور براهم عود Anouar Brahem
Anwar Brahem Oud Jazz Tunisia Tunisie
la suite 12 décembre 2011
fin de la toile
musique
Chanson du dernier album Imdiwan (companions) de Tinariwen +l0:l
Tinariwen était à Montréal le 5 mars 2010 à La Tulipe 20h
Images : "Algérie : Vue du ciel" par Yann Arthus-Bertrand
Images: oeuvres d'Ali Kichou
Paroles :
IMAZEGHEN N ADAGH ENKARAT TOMANAM
Touareg of the Adar, wake up! Rise up and show yourselves!
TOMANAM TISEMIL EMIL ITBATAN
Rise up and show yourselves openly, with sincerity
AYTMANIN MA DJAM D-IBASS TAKHDAMEN
My brothers, you have no more work! What does that mean?
DEL MOQAF WAN HA SEMEN TEKYADAM
All you can do is look on at this terrible situation
DAGH EL GHAHAD WA LAM IBASS TATTEFHAM
You don't even understand the confidence you possess
BDA TIRIKIN ED IMENAS ANNAYYAM
Once you rode upon the camel's saddle.
jeudi 1 décembre 2011
moments d'une toile, très humblement, vers Levinas
la résistance
après avoir transformé les matières, laissé le bois sécher, il y a ce moment de lâcher prise, de distance, quand la toile est détachée de ses amarres.
pas cet instant où il est décidé qu'elle est terminée, que chaque forme, retouche, tracée serait une fioriture, un truc venu des images archivées...
mais le moment où on la retrouve, finie, plus tard, quand les gestes se sont libérés de la pensée, du geste qui suivait ses perspectives indicibles.
alors la toile se donne à voir, ou pas, comme un nouvel espace qui "fait visage" ou juste matière colorée ...
la toile aura résisté, ou pas...
ww.idixa.net/
Levinas
L'infini se révèle dans le visage d'autrui sans qu'aucun contenu dogmatique, aucune rationalité, aucune démonstration philosophique ne soient nécessaires. J'entre en relation avec lui, et la totalité se brise. L'extériorité se manifeste. Il est en même temps le révélé et le révélateur. Il dépasse l'idée de l'autre en moi, et je suis mis en question.
Nous accueillons d'abord le visage dans la douceur de la figure féminine. Il parle, il est langage et discours. Il ne resplendit pas comme une image, mais comme la production du sens. Avant toute interrogation, il est désir.
Sa nudité est dénuement, misère. Elle témoigne de sa condition d'étranger. Sa voix me met d'emblée en rapport avec un autre que je dois accueillir avec droiture et responsabilité, en reconnaissant son privilège. Par son visage, toute l'humanité me regarde, me rappelle à mes obligations et me juge.
Le visage s'exprime, et cette expression est une révélation. Dans son épiphanie, il se refuse à toute possession. On ne peut le nier, sauf par le meurtre. Il m'invite à une relation sans commune mesure avec les pouvoirs.
Son unicité d'étant prévaut sur toute généralité de l'être; il est transcendé par l'amour.
relevé sur
www.idixa.net/Pixa/pagixa-0508261134.html
#OccupyWood - toile de la nuit - painting of the night - november 2011 from shap - improvisations et autres on Vimeo.
Dhafer Youssef & Tigran Hamasyan quartet Part 1
samedi 26 novembre 2011
sans savoir comment
C'est comme le rythme des vagues, parfois, en s'éloignant de la rive connue, on perçoit ce mouvement hors de nous, comme venu d'une autre rythmique qui déplace nos musiques intérieures.
Les pas juste faits sans raison, avancés dans des rues qui ne savent où conduire nos pensées emportées dans chaque regard souterrain, produisent parfois cet inattendu, ce silence qui révèle.
C'est un chien errant sans raison croisé, une brindille déplacée, un passant qui salue avec "un air de dire", différent. Une nouvelle sonorité qui éloigne les parodies de l'habitude, les coïncidences qu'on croit signifiantes l'espace d'un instant. Puis les libère dans la grande clameur détachée.
Cette autre rive des taoïstes ici, dans chaque mouvement qu'un interlude à dégagé, une trouée hors des récitations qu'on tisse depuis l'enfance. Certaines comme d'amicales fontaines qui rassurent, d'autres qui noient le neuf dans des rigoles érodées, vers des flaques brillantes qu'on évite.
Certains grands arbres arrivent à éclipser les ramifications de ces sentiers tracés, en déployant leur présence brusquement, au détour d'une seconde d'oubli.
Et nous, laborieuses mécaniques parfois déroutées, perdant la trace des nos directions prophétiques, nous continuons de marcher sans savoir comment...
vendredi 11 novembre 2011
on ne sait jamais - hasard au carré ?
(...) Dire ce qui ne vient pas d'un coup, pas ce qui est déjà prêt à émerger avant même que l'idée ne surgisse, mais aller chercher ces choses lointaines, plantées sur des aridités éloignées, qui n’entendent que les "murmurations*" des uccelli.
Ces empreintes vivantes qui s'entre-nouent pour ne pas s'estomper, mais fuient toute approche.
Parler des ornières; des cascades où des chats sont morts,
ces images qu'on met sur des étagères hautes
toujours présentes dans l'absence obligée,
et je ne parle pas des bulles de mémoire qui murent l'horizon, pas du tout.
Juste de ces objets qui effleurent les flaques trop souvent rappelées dans les mots.
Pour retrouver un instant, ou pas, ou toujours en filigrane l'impatience involontaire des autres qui cherchent à se dire.
Mais non, ne pas écouter ce bruissement des ordinaires reconnus, de ces cartographies du langage qui ornent les miracles répétés.
Un soir, il y a cent ans, j'ai fait un pari, avec un ami, incrédule, pour lui montrer que des choses se disent peut-être, hors champ :
Le restaurant où l'on devisait du tiers inclus, de la réalité et de sauts quartiques, s'animait de visiteurs venus des ruelles d'Antibes.
Et j'ai dit à L. , avec une certitude joueuse, enfantine mais puissante. - "Je suis sûre que cet homme-là, qui entre, travaille dans le même champ que nous..."
L'homme s'est assis près de moi, palabrant avec un groupe, puis s'est adressé à moi via un sac mal placé, " - les sacs des femmes sont souvent lourds et encombrés de bizarreries..."
Le vin blanc scintillait et le jeu se pressait. L. me demanda de lui demander.
"Connaissez-vous Basarab N., lui demandai-je ?" un peu hors champ mais à l'eau.
Georges B. me répondit : car c"était lui..." Je suis son ami d'enfance et fondateur du C......".
Il y avait une chance sur des millions lança-t-il à ses amis du monde du théâtre, comme lui, que je le connaisse...
Tout cela n'est rien, un "double" hasard qui est venu jouer aussi...
On ne sait jamais.
Je rentre de Tel Avive où une amie m’a dit un aphorisme qui répond, un peu, à ce que vous écrivez:
“L’accident c’est la nécessité qui te touche par surprise”
sur les "murmurations" d'oiseaux
n’est pas la route réelle
L’homme qui monte avec son sac à dos
n’est pas un homme du passé
tok, tok, tok - son pas
transcende passé et présent.
Corbeaux s’envolant d’un arbre
Caw, caw, caw.
mardi 8 novembre 2011
vendredi 4 novembre 2011
rencontre d'un bleu -essai1
jeudi 3 novembre 2011
#OccupyWood - art - toile de la nuit - painting of the night - november 2011
carte marine - équations - encre et autre sur bois
pas encore sèche ce soir
musique
Dhafer Youssef & Tigran Hamasyan quartet Part 1
la toile aujourd'hui mais trop sombre,
photographier la peinture....
Voir les détails - autres images
sur
moments d'une toile.
mercredi 2 novembre 2011
#OccupyWood - toile de la nuit - painting of the night - november 2011
carte marine - équations - encre et acrylique sur bois
pas encore sèche ce soir
musique
Dhafer Youssef & Tigran Hamasyan quartet Part 1
comment la rue
dimanche 23 octobre 2011
la même barque
à la fois courant et fixe
posé dans l'eau et glissant
englouti et au dessus
défaire les angles du temps
démonter les planches des bateaux
tout à la fois silencieux et perdu dans le flot des murmures
qui passent comme des défilés fantasques
et laissent leur étincelle depuis le chaos
tout à fois dans la maison amarrée des mémoires
et transformant les pigments en traces étonnées
à la fois naissant et oublié
lourd de granit et vol de parfums
attente et invention
retour à l'improbable puis
dans ce moment qui converse avec les traverses
regarder l'eau des ponts et y jeter une brindille qu'on regarde au dessus des jours
démonter le cadre de la toile et y poser des trèfles à quatre sens et revenir à la parole tranquille qui dit à l'infini son histoire sans écouter cette polyphonie d'un désir maquillé
mais tout à la fois
dans la fugue et le rythme pour marcher dans le bords des routes
le coin des herbes en conversation
j'ai pensé aussi à MD - 23 oct 2011
vendredi 21 octobre 2011
la petite voiture jaune
on ne se perd jamais entre les lettres tracées, ni les signes retrouvés
papiers arrachés pour fixer la mémoire
des gestes oubliés et retrouvés dans les feuillages de nos tiroirs
petits mouvements dans le temps pour nous redire cette recherche un jour initiée par un mot ou une phrase
un passant
un ami
et les paysages défilent dans un vent impossible à définir
un ordre que notre regard transforme et interpelle
une promesse introuvable mais toujours présente
les calades dans les virages
sur un solex peu fiable mais fou d'imprévisible
les oliviers penchés par un souffle régulier
et notre boite de réglisses anciennes qui rappelle le goût des lampions du jeudi :
la petite voiture jaune
jeudi 29 septembre 2011
vediamo
mercredi 28 septembre 2011
publication sur le site récits d'artistes
récits d'artistes - Site de recherche sur l'expérience artistique
Carol Shapiro: Équations des incertains
Les artistes ont toujours contribué à la société par leurs œuvres, mais l’expérience même de création est aussi une expérience significative pour la connaissance de l’humain sur son humanité.
Danielle Boutet, Ph.D.
Équations des incertains
On appelle « inéquation » une inégalité qui n’est vérifiée que pour certaines valeurs attribuées aux lettres qu’elle contient. Ces lettres sont les inconnues de l’inéquation.
Comment approcher cet espace, cette dimension de la création artistique, lieu où la pensée — onde/particule — se transforme, où le geste se retrouve suspendu dans ce temps vertigineux qui nous précède, qui détermine à notre insu la trace/futur de nos parcours, traversée des recherches et expériences, transmissions qui nous constituent?
Ce qui émerge, au-delà du discours, du repère. Ce qui conduit dans cette «vallée de l’étonnement» 1 que nous découvrons quand la pensée se délivre des conditionnements et ouvre des clairières irriguées par ce qui se dit en s’oubliant.
Donner à voir ce que se joue dans un processus de création est comme se jeter dans une vague, ne pas trahir le sens de la marée tout en tentant de respirer, de flotter dans ces turbulences pour partager l’indicible.
Cette manière d’être au monde, cette tentative de transmettre une vision où le hasard devient non pas signe, mais indication d’un geste nouveau à poursuivre sans garde-fou. Ne pas répéter une forme connue qui rencontrera les mémoires en séduisant le contemplateur.
Inscrire toutes les transmissions sans désir ni peur de plaire
La pratique de peinture (comme les autres formes d’art) procède de diverses étapes, de postures possibles, de moments/carrefours: transmissions-passages qui nous ont amenée à un moment, atemporel, de décision : s’autoriser à l’art. À l’ «être artiste», à cette position déjà ancrée dans un désir qui nous habitait, s’exprimant dans les métamorphoses de son énergie. De la même façon que le «psychanalyste ne s’autorise que de lui-même», l’artiste s’ «autorise», accepte, ose cette mise en danger constante qui ne repose que sur une nécessité de partager une présence au monde, de communiquer au-delà de nous-mêmes. De se positionner dans ce «lieu de la parole» qui nous dépasse pour rencontrer l’autre dans l’acte même de la création. Lieu de la rencontre des inconscients.
On se retrouve sur une rive nouvelle où les processus de m..
mercredi 14 septembre 2011
des buvards et des heures - le comptable invisible
il a dû dévaler des années de pages, aligner des chiffres - pour nous indécidables, gommer, recommencer, lisser et ajuster
des lignes tracées dans l'inconnu, comme ces témoignages dont juste la sonorité renvoie à cette mémoire aux archives emmêlées qui réinvente le temps dans des enluminures toujours renouvelées...
comptes. Comptes sur buvard (anonyme) trouvés. huile sur bois
jeudi 4 août 2011
on marche sur la terre
Rien ne procède du réel, ni cette herbe verdie, ni nos étourdissantes hypothèses. Rien ne raconte le craquement des miette de pain sec laissées à nos moineaux coutumiers.
Perdu dans l'implacable. Inventés dans l'insoutenable complainte transformée en pub vénitienne, nous parlons au travers des volets, nous conversons dans le fracas des vagues incessantes.
plantons des fanions sur la lune avec des étoiles arrangées, nommées
Nous avançons dans un tranquille aveuglement reconnu, attachés à nos carambars et bouts de réglisse d'enfance; planqués dans des bibliothèques vernies ou des écrans séculiers.
il y n'y a rien, que nous. ici, seuls et reliés à la porte du jour qui épelle son nom dans les ruelles des quartiers que les épiceries fruitières éclairent en clapotis de cagettes entassées..
D'autres trébuchent sur des racines qu'ils prennent pour leur signature, alors que juste quelques radicelles étirées par le soleil cherchent à recevoir l'eau de toute les pluies
mardi 2 août 2011
comptines du désir
Marcher dans la ville vibrante, vitrines bariolées d'images insalubres et autres tentatives de promesses insensées.
Les artistes, souvent, du bord de leur désir n’entendent que leur voix qui raconte ses heures, redit ses gloires ensevelies, ses complaintes.
Donner à voir ?
La vacuité des illusions, l'impossible présence.
Comment la lune rousse, perchée dans ce vol insondable, portée par la grande parade des astres nous redit-elle ses lumières... ?
La misère éloignée, comme suspendue aux confins de l'espace, parle aux faiseurs de drapeaux, aux planteurs de dérives, aux marchands.
Les oubliés regardent passer les voitures et ne voient la poussière des routes, donnée depuis longtemps par les étoiles, que les narcissismes guerriers prennent pour des soleils.
A cause de la lumière des phares qui les capture dans cette quête toujours ramenée à soi ...
photo shooté écran télé' rendez vous à Palerme - Wim Wenders
mercredi 13 juillet 2011
l'apres midi de la toile de la nuit
suite ...
après avoir perdu ses brillances d'eau de 3h de la nuit
soleil dans l'atelier
vent qui traverse ce couloir aux deux fenêtres
la lune est éclairée de lumière cendrée
venue des océans et des nuages
dans les mémoires
mais ici juste un bleu éloigné
encres lune et fenêtre - mixed media sur toile
40X40
cette nuit - fenêtres - ciel - encres et lune
dimanche 10 juillet 2011
sur le peu ...
à jean mas
et ses intimes ombres, ce Peu qui traverse le discours....
www.jeanmas.com/peu.html
Un jour, jean mas a dit, au séminaire d'Amoyel, je crois, "nous sommes faits à l'image de l'ombre de Dieu" ..
Et cette ombre là, sans visage pourtant, a parcouru mes mémoires jusqu'à ce jour, déchiré les monticules de pensées dérobées, reconstituées, revisitées et postées dans les enclos du nuage "cloudesque" qui nous envole consume et renouvelle, dans les courants d'air impromptus..
ces saisons à peine entrevues, juste rappelées par une herbe de vigne en spirale qui redit ses magnétiques appels solaires
et les abeilles qui cherchent des pollens sur des balcons perchés
comme les arbres de Calvino que nous oublions,
comme les flaques de pluie des rues par les rigoles d'orages
Alors, ce Peu, cet infime juste posé sur une idée nouvelle
cette fréquence jamais entendue
les bulles, les irisations sans substance, volent à perte de raison
et nous redisons l'impossible à chaque moment
marchons dans un indicible qui questionne les interludes
crée cet espace neuf à la Krishnamurti
celui qui se détache de la ligne trop usée des souvenirs sans carrefour
et ce P
de la maternelle
du cosmos et du chaos
du papillon qui fait jaillir les tornades du sens..
à peine
juste/faux
Lupasco
ici, dans l'instant où l'on tente d'attraper ce qui nous frôle, comme ces
fameuses bulles d'enfances, faites avec le Paic de nos grand-mères...
dans des éviers de pierre adoucie
samedi 25 juin 2011
Jean-Pierre Joly - texte original -1994
vendredi 24 juin 2011
le point de Marine - détail d'un drapeau figé
Il y a là, cette implacable indifférence, face plaquée d"une idole grisée de sa fureur éperdue.
Les diseurs de l'ombre, les marchands de troubles plantés comme d'imbéciles fanions de couture, trafiquent des confidences adroites, sans l'appel de ces fragilités qui se donnent à lire, dans l'insoumis.
Nœuds de Marine. Ancre liée à cette corde de mots colportés, - préfabrique souterraine, étal d'insensible, de verbes intouchables. Barques et chaloupes du futur seront-elles ballottées par cette fausse vague, trimballées dans ces valises cadenassées, plongées dans cette vaseuse comédie qu'un sourire induit ?...
A t-elle encore le souvenir des rigoles qui courent avec ces bateaux de papiers parlants qui dérivent et traversent le discours des pentes ?
Rencontrent ces brindilles animées qui construisent les radeaux d'un vent qui dévoile le monde. Si loin d'elle.
(chaloupe huile sur bois 2002)
samedi 18 juin 2011
Basarab Nicolescu Théorèmes poétiques
Basarab Nicolescu
Théorèmes poétiques
in niveaux de réalite
1
La Vallée de l'Etonnement - l'abîme entre deux niveaux de réalité. La Nouvelle Renaissance - émergence de la réalité incarnée de plusieurs niveaux de Réalité
in la poétique quantique
5
L'imaginaire quantique est la circulation énergétique entre deux ou plusieurs niveaux de Réalité reliés par la discontinuité. L'inspiration poétique est la perception de la respiration solidaire des différents niveaux de Réalité.
6
De toute évidence les mots sont des quantas. La pleine lumière sur la lumière contradictoire entre le dit et le non-dit, le son et le silence,, l'actuel et le potentiel, l'hétérogène et l'homogène, le rationnel et l'irrationnel. Complémentarité contradictoire intégrée en nous mêmes par le tiers secrètement inclus.
in le tiers secrètement inclus
17
L'espace-temps poétique est la trace dans l'espace et dans le temps du non-espace et du non-temps
12
La richesse est une visualisation spectaculaire de l'exclusion du tiers secrètement inclus. Les guerres, les révolutions, la famine, la haine ne sont que les compléments de cette image. La source cachée en est toujours la logique binaire.
Extrait de "Théorèmes poétiques" Editions du Rocher.
Basarab Nicolescu est
Physicien théoricien au CNRS Université Paris 6
Membre de l'Académie Roumaine
Président du Centre International de
Recherches et d'Études Transdisciplinaires CIRET
http://basarab.nicolescu.perso.sfr.fr/ciret/
Il est le parrain de l'association. caravancafé
..............................................
"rencontre/tissage" avec Carol Shapiro / dans le cadre du projet circulations
http://www.caravancafe-des-arts.com/appel.htm
interview 2004
toiles de la série "équations" - manuscrites données par des chercheurs encre et huile - huile encre sur bois
collages encre et huile
equation japon 2 2006
détail équations
Seung Sahn