on les a libérés un jour de cette forme, déployé leurs lettres attachées, imaginé des visages aux bord des "y" exotiques.
Puis posés dans une étagère, regardés comme des amis qui ont déjà beaucoup raconté, mais qui restent dans cet insondable que le temps interpelle.
Ils n'entendent pas le bruit des télés trébuchantes, pas le grésillements des machines.
Juste silencieux entre deux autres, ils conversent dans un temps sans virgule, ou juste celles des moment qui ont pris le large, sans amarres, avec juste un courant qui les relie...
15 septembre 2012
photo cs
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