sortir
des décombres bruyants qui dévoilent à peine les peines fossiles
c’est un
jeu
bien sur
une
illusion séculaire et solide
déchirer
les frayeurs qui contemplent la disgrâce des âmes libres
cette
liberté
inconnue
et brûlée dans les gestes sans tête
couronnes`
déchirements
présence
immédiate des forces sans tromperie
mais
quelle est cette musique qui ne raconte rien
révèle la douceur de ces palmes fluviales
avec la
fraîcheur de la houle
et la
barbarie`toujours lovée explore ses frontières invisibles
écrit des
phrases frauduleuses qui ne transportent rien
`
comment
aller ?
la juste
direction dans la multitude
toutes
possibles`
et
délicates`fragiles et silencieuses
qui parle
?
qui
connait la dictée et déjoue
les
meubles du passé
les
vielles armoires meurtries qui montrent leurs portes trop lourdes
comment
aller
`défaire
ces énergies du rocher
un
souffle d’air
une
lisière
une
présence dévoilée dans la lutte e humaine
les
chantier de la fameuse Babylone
planté
comme des graines maléfiques et polies
Terminator
les
graines qui ne donnent que la récolte unique
sans
renouveau
à l’ombre
d’aucune saison
où aller
dans l’impossible confrontation
la terre
prononce ses chemins
ses
ombres
ses
montagnes voilées
et la
tête meurtrie des hommes s’enfouit dans les lagunes sans couleurs
l’invincible
le
possible
le déjà
déferlant
nous
connaissons le goût des pommes mures
des
fruits sec
le parfum
des herbes à brûler
les pas
des amis qui résonne
et
revient
où aller
?
dans les
rigoles fraîches
dans les
lieux sans paroles où les gestes rencontrent la mort
la parole
emporte ses frontière et crée le sol de des mémoires
revenir
dans l’enclos découvert qui ne dirige rien
retient
seulement la sève odorante des rêves
qu’aucun
crépuscule n’égare
où aller,
vers quelle immobile amitié
que le
mouvement accompagne à l’orée de toute les peurs
sept 2000
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